Nous avons décidé, pour la présentation lors de l'étape de travail du 21 mai (à 19h00), de travailler sur une première partie de la pièce, afin de présenter environ 20 à 30 minutes d'un déroulé.
Chaque jour Johanna nous fait faire un training d'environ trente minutes, puis nous travaillons nos personnages par improvisations, parfois même en se les échangeant afin de nous enrichir des propositions des autres.

training d'imitation : agrandir et caricaturer la démarche
Nous travaillons sur le transformisme : tous les genres sont inversés. Les personnages féminins sont interprétés par des hommes et inversement. Aussi les changements de rôles nous permettent d'enrichir nos caractères, attitudes, postures, intentions, en passant d'un genre à l'autre. Parfois les assistantes se prêtent aussi au jeu.

Sophie en Evita, Floriane en Mère, Ellénore en Ibiza
Bénédicte Alloing (vidéaste) et Julie Z (costumière) aident aussi à la conception générale de la scénographie du plateau : nous sommes dans un cabaret, qui joue à interpréter Eva Peron de Copi. La pièce est une énorme manipulation, un seul des personnages (ainsi que le public, bien sûr) ignore ce qui se trame.
Un prologue installera ces conventions, dans lequel on assistera aux changements de genre, de costumes, de scénographie, au maquillage, sur un plateau à la fois coulisse et scène de ce cabaret.
Dans cet esprit la costumière deviendra l'habilleuse de cabaret, et les techniciens du spectacle seront aussi susceptibles d'intervenir parfois au plateau. Ce parti-pris nous permet de transgresser les postes traditionnels, et de faire entrer chaque participant au projet dans un univers de jeu et d'interaction "à vue".
La vidéo nous permettra à la fois d'installer des décors de la chambre d'Evita et du palais présidentiel, mais aussi de focaliser sur des espaces "privés", et sera alors sur le mode "voyeur" : on rentrera ainsi dans l'intimité de certains personnages. Parfois elle jouera en accompagnement de l'état d'un personnage ou en contrepoint de l'action, non sur le mode illustratif mais sur le mode sensitif.

Sophie, Johanna, Floriane, Bénédicte, Ellénore, Carmelo, Julie
manquent : Colin, Charles.
Copi est un auteur exigeant. Le niveau de jeu et d'interprétation se doit d'être haut, et le rythme tenu. Les journées sont donc riches et éreintantes...

Chaque jour Johanna nous fait faire un training d'environ trente minutes, puis nous travaillons nos personnages par improvisations, parfois même en se les échangeant afin de nous enrichir des propositions des autres.

training d'imitation : agrandir et caricaturer la démarche
Nous travaillons sur le transformisme : tous les genres sont inversés. Les personnages féminins sont interprétés par des hommes et inversement. Aussi les changements de rôles nous permettent d'enrichir nos caractères, attitudes, postures, intentions, en passant d'un genre à l'autre. Parfois les assistantes se prêtent aussi au jeu.

Sophie en Evita, Floriane en Mère, Ellénore en Ibiza
Bénédicte Alloing (vidéaste) et Julie Z (costumière) aident aussi à la conception générale de la scénographie du plateau : nous sommes dans un cabaret, qui joue à interpréter Eva Peron de Copi. La pièce est une énorme manipulation, un seul des personnages (ainsi que le public, bien sûr) ignore ce qui se trame.
Un prologue installera ces conventions, dans lequel on assistera aux changements de genre, de costumes, de scénographie, au maquillage, sur un plateau à la fois coulisse et scène de ce cabaret.
Dans cet esprit la costumière deviendra l'habilleuse de cabaret, et les techniciens du spectacle seront aussi susceptibles d'intervenir parfois au plateau. Ce parti-pris nous permet de transgresser les postes traditionnels, et de faire entrer chaque participant au projet dans un univers de jeu et d'interaction "à vue".
La vidéo nous permettra à la fois d'installer des décors de la chambre d'Evita et du palais présidentiel, mais aussi de focaliser sur des espaces "privés", et sera alors sur le mode "voyeur" : on rentrera ainsi dans l'intimité de certains personnages. Parfois elle jouera en accompagnement de l'état d'un personnage ou en contrepoint de l'action, non sur le mode illustratif mais sur le mode sensitif.

Sophie, Johanna, Floriane, Bénédicte, Ellénore, Carmelo, Julie
manquent : Colin, Charles.
Copi est un auteur exigeant. Le niveau de jeu et d'interprétation se doit d'être haut, et le rythme tenu. Les journées sont donc riches et éreintantes...

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